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Un 21 mai avec Jean Barbe

Vous n’en pouvez plus des Libéraux au pouvoir à Québec ? Les Conservateurs à Ottawa vous découragent ? Vous avez envie de vous manifester haut et fort pour l’avenir du Québec ? Les Lundis de l’indépendance sont là pour ça…

Les Lundis de l’indépendance, ce sont des soirées-causeries avec des indépendantistes de tous les horizons, le tout dans une atmosphère détendue et informelle.

Les Lundis de l’indépendance auront lieu le troisième lundi de chaque mois… jusqu’au Jour de l’Indépendance !

Le Nouveau Mouvement pour le Québec vous y convie et a bien hâte de vous entendre !

Vous y trouverez chaque mois :

  • Un orateur invité.
    Le 21 mai, le journaliste et écrivain Jean Barbe ouvre le bal. Auteur de Comment devenir un ange, Jean Barbe a milité activement aux côtés des étudiants durant tout le printemps québécois et appuyé ouvertement le Mouvement des Indignés.
  • Des citoyens qui, comme vous, ont à cœur le projet d’indépendance du Québec
  • Une ambiance sympathique, festive, qui favorise les échanges
  • Des discussions animées sur ce pays qui se lève

Venez discuter dans un cadre informel avec des indépendantistes de tous les horizons.
Venez vous faire entendre.
Venez faire lever, vous aussi, un pays neuf.

Où : Au Gainzbar, 6289 St-Hubert, Montréal
Quand : Le lundi 21 mai, dès 19 h00

Manifestez-vous en grand nombre !

Un Québec qui reprend ses ailes

Il y a un an, une élection fédérale a porté au pouvoir un gouvernement majoritaire sans l’appui du Québec. Il y a 30 ans, le gouvernement du Canada a adopté la Constitution, toujours sans le consentement du Québec.

Ces deux événements témoignent d’une rupture symbolique entre le Canada et le Québec, du choc de nos identités et aspirations nationales. Ils trouvent leur origine dans une culture patriotique de plus en plus unitaire au Canada, qui se heurte au désir québécois d’exister comme nation. Une culture canadienne qui trouve dans la Constitution tous les moyens d’un État unitaire[1]. Pourtant, il y a toujours deux imaginaires sociaux et deux imaginaires politiques distincts, deux nations qui aspirent toutes deux à leur plein épanouissement.

 

Après le 2 mai…

Depuis le 2 mai 2011, toutes sortes d’analyses ont été formulées pour expliquer les choix politiques du Québec. Un colloque a d’ailleurs été consacré récemment à Toronto à la question du Québec. Le gouvernement du Canada a même commandé une étude sur « l’agitation politique » québécoise depuis lors, preuve qu’il cherche à la comprendre[2].

Une chose est claire : l’opinion publique québécoise, « friable », a fait, en 30 ans, le tour des options politiques qui lui sont offertes sur la scène fédérale. Depuis, les Québécois ont donné une majorité de sièges au Québec à trois partis politiques fédéraux différents[3]. Quelle conclusion en tirer sinon que, peu importe la représentation ou les enjeux politiques, le mécontentement d’une majorité de Québécois envers le statu quo persiste.

C’est un malaise profond, structurel. Et sérieux, car il relève du choc de nos identités. Après tout, 71 % des Québécois veulent revoir le statut politique du Québec, selon Léger Marketing[4], alors que les Canadiens ne souhaitent pas relancer le débat par eux-mêmes sur les enjeux d’une Constitution… désormais verrouillée.

Deux constructions nationales

Au Québec, les référents collectifs des Québécois ne sont pas les mêmes que dans le reste du Canada. Les Québécois forment un peuple, une nation à part entière. Ils ne sont plus Canadiens ni même Canadiens français, mais Québécois. Ils ont construit, ici, au fil du temps, un gouvernement national, un point d’appui, capable de promouvoir leurs intérêts nationaux et chargé de veiller à l’épanouissement culturel du peuple québécois.

Au cours de leur histoire, les Canadiens se sont façonné un pays qui les satisfait, un pays bien à eux, dont ils sont fiers. Ils se sont construit une nation, la nation canadienne, avec un imaginaire social et politique qui leur est propre.

Plusieurs jalons ont marqué ce processus de construction nationale au Canada. L’un des moments fondateurs est sans doute la bataille de Vimy. Mais le Statut de Westminster, certains hommes d’État tels Mackenzie King, Tommy Douglas ou Lester B. Pearson, ainsi que de grandes réalisations telles que l’assurance-maladie universelle[5], y ont aussi concouru. Ce processus s’est poursuivi durant 40 ans de règne libéral[6] avec l’adoption de l’unifolié[7], la Commission sur le bilinguisme et le biculturalisme (Laurendeau-Dunton), puis l’abandon de ce dernier principe pour le multiculturalisme – devenu l’idéologie officielle du Canada. Le rapatriement et l’adoption de la Constitution de 1982 ainsi que l’enchâssement de la Charte des droits et libertés ont non seulement confirmé cet idéal national, ils ont également participé à la construction de cet imaginaire[8]. Du coup, le rapatriement a fait du Canada un pays indépendant[9], sans le consentement du Québec, et des Québécois, trahis.

Depuis son élection, le gouvernement conservateur cherche à imposer une construction identitaire plus « conservatrice », encore une fois sans le Québec. Sa volonté idéologique se traduit par une révolution morale, de sorte qu’il soit ensuite impossible de s’en dégager. L’abolition du registre des armes à feu le cristallise bien. Idem pour les jeunes contrevenants, Kyoto, la consigne d’afficher bien en vue le portrait de la reine d’Angleterre ou de tout « royaliser ». Le patrimoine royaliste est réhabilité, et le passé militaire britannique, glorifié.

Tous ces efforts identitaires des Canadiens sont le fruit d’ambitions nationales. Celles-ci visent à consolider le caractère national de ce pays. En effet, depuis que les Canadiens ont pris conscience du fait qu’ils ne pouvaient plus continuer d’exister en tant que pays sans être une nation, ils s’en sont construit une, là où il n’y en avait initialement pas[10]. Or, le Québec ne peut continuer à exister en tant que nation sans être un pays, puisqu’il est privé des principaux leviers lui permettant d’affirmer ses légitimes ambitions nationales.

 

Deux langues officielles, une culture

Si le Canada a bel et bien épousé le principe du multiculturalisme, il est incapable de se faire à l’idée qu’il puisse exister dans ce pays une autre culture nationale que la culture canadienne, majoritairement anglophone.

L’État canadien reconnaît officiellement la langue française, mais il refuse d’admettre qu’elle est autre chose qu’un simple élément de la mosaïque canadienne. Qu’elle est une culture nationale distincte, autonome. Qu’elle fait partie intégrante de l’identité du Québec en tant que nation et que son expression est cruciale à la culture de celle-ci. Pour les Québécois, la langue française est un élan commun et autonome, un souffle collectif. C’est sur elle que s’appuient notre destinée, nos espoirs et notre volonté commune.

Si le Canada admet l’existence institutionnelle d’une dualité linguistique, il rejette celle d’une dualité culturelle. C’est en quelque sorte un pays « un », avec une culture « une », celle de la nation canadienne, indifférente à l’identité québécoise. Tant et si bien que le Canada agit maintenant comme s’il était constitué de deux langues officielles, mais d’une seule culture.

 

Deux gouvernements nationaux

Aujourd’hui, dans l’imaginaire des Canadiens, le Canada n’est plus pensé ou vécu comme une entité fédérative, avec ses parties distinctes et ses divers gouvernements. Et depuis 30 ans, les Canadiens tendent, dans leur imaginaire, vers une culture patriotique unitaire. Au plan institutionnel, on dit que c’est un État fédéral, mais de fait, le Canada reste depuis toujours un État unitaire[11]. L’un et l’autre, l’imaginaire comme les institutions, participent au même processus général de centralisation.

Or, dès 1956, le gouvernement du Québec[12] a déterminé que les conditions de base à l’acception du Canada ont toujours reposé sur deux principes : une union réellement fédérative et une égalité des deux peuples fondateurs. Ces principes n’ont jamais vu le jour. L’idée fédérale n’existe pas.

Résultat : nos destinées nationales s’éloignent. Bien qu’Ottawa n’ait jamais été et ne sera jamais ce qu’est Londres pour les Anglais ou Paris pour les Français, ce n’est plus seulement le siège du gouvernement fédéral et de sa Cour suprême, mais le lieu où s’assure la gouverne de la destinée nationale du peuple canadien.

L’État canadien se construit, se définit et s’impose comme l’incarnation même de la nation canadienne. C’est la seule voix, la seule représentation « officielle » qui vaille pour le Canada. Tous ceux qui veulent parler en leur nom propre, comme le Québec à l’UNESCO, n’ont d’autre choix que de consentir à la ligne qui leur est dictée par l’intérêt de la majorité canadienne. Or, la grande majorité des Québécois considère, dans son imaginaire collectif, que le siège de son gouvernement national est à Québec.

Plus nous avançons dans le temps et l’histoire, plus les tensions s’accumulent. Deux gouvernements nationaux se dressent côte à côte, condamnés à s’affronter sur de nombreux enjeux où leurs intérêts divergent. Dans l’imaginaire canadien, le gouvernement du Québec est de plus en plus perçu comme une entité administrative secondaire. Chaque confrontation entre les deux gouvernements nationaux constitue, pour les Québécois, une nouvelle et inépuisable source de frustrations puisque l’intérêt de la majorité prévaut. Ces nombreuses frustrations rappellent à quel point ces deux visions nationales sont devenues irréconciliables. Trop de politiques publiques sont désormais adoptées à Ottawa à l’encontre des intérêts des Québécois, mais toujours avec leurs impôts.

Les Québécois, tout comme les Canadiens, doivent prendre conscience de ce qu’ils sont devenus depuis 1867. Nous n’avons guère de points en commun. Le love-in est depuis longtemps révolu.

 

Les limbes de l’histoire

Le Canada s’illusionne en pensant avoir vaincu le mouvement souverainiste québécois. Or, le débat sur l’indépendance du Québec est loin d’être terminé puisque celle-ci reste à faire. Cet important courant de pensée qui traverse toute la société québécoise et qui, depuis 16 ans, ne s’étiole pourtant pas, ne pourra être ignoré encore très longtemps.

Soyons clairs : ce n’est pas le mouvement souverainiste qui est mort le 2 mai dernier au Québec. C’est la participation consciente du Québec, depuis longtemps d’ailleurs, au centre décisionnel d’un État où il ne se reconnaît pas, d’un pays qui lui apparaît de plus en plus étranger, d’une nation qui n’est pas la sienne.

Ce n’est pas parce que le projet souverainiste a été refusé par un cheveu, en 1995, que les Québécois ont dit oui au Canada. Ce n’est pas parce qu’ils ne veulent pas l’indépendance qu’ils ont voté pour le NPD. Ce n’est pas parce que s’exprime dans les urnes le malaise québécois que s’efface, par enchantement, le manque de projets communs.

Cette « friabilité » du vote québécois n’est rien d’autre que le sentiment profond et pesant, depuis 1990, de rester dans les limbes de l’histoire, de ne pas être. Saisis de vertige, les Québécois vivent dans un ultime flottement. Il n’est pas question qu’ils ne saisissent pas leur destin la prochaine fois.

L’existence d’une nation

Après 145 ans d’errances constitutionnelles, nous n’arrivons toujours pas à nous entendre. Pourquoi continuer à nous égarer dans cette voie, vers ce cul-de-sac ? Le fruit n’a jamais été mûr et ne le sera jamais. En effet, il serait aujourd’hui impossible de faire accepter aux Canadiens les conditions définies, et rejetées en 1990 par l’Accord du lac Meech, puis rejetées à nouveau de part et d’autre dans l’Accord de Charlottetown. Pour le Québec, de telles conditions étaient alors jugées minimales dans le cas de Meech et insuffisantes dans le cas de Charlottetown. Aujourd’hui, ni l’un, et encore moins l’autre, ne sauraient suffire à satisfaire la nation québécoise.

Si ces projets de compromis constitutionnels n’ont pas réussi, et ne réussiraient pas plus aujourd’hui, c’est qu’ils sont en soi incompatibles avec les principes mêmes de l’État unitaire canadien. Ils sont d’autant plus irrecevables pour les Québécois puisque ceux-ci forment bien plus qu’une société distincte, ils forment une nation.

Contrairement à la nation québécoise, la nation canadienne dispose d’un véritable État afin de poursuivre ses ambitions nationales. Elle peut lever tous ses impôts, adopter toutes ses lois et signer tous ses traités. L’aspiration légitime d’une nation est d’assurer sa pleine gouverne et sa participation aux affaires du monde. En laisser une autre occuper sa place, c’est renoncer à sa propre existence.

 

Notre place dans le monde

Le Canada est actuellement lié par 4058 traités, accords, conventions et protocoles bilatéraux ou multilatéraux[13] qui touchent tous les aspects de la vie en société. Dans plusieurs cas, ils lient le Québec comme province, comme c’était le cas pour le protocole de Kyoto. Mais c’est toujours Ottawa qui négocie.

De crises bancaires en crises environnementales, des petits pays au mouvement des Indignés, tous demandent de meilleurs encadrements internationaux. Et cela passe nécessairement par le rôle de l’État. Cela soulève des enjeux mondiaux sur lesquels le Québec ne peut toujours ni s’exprimer ni agir.

Longtemps, on a tenu pour acquis que les intérêts objectifs du Québec et du Canada étaient sensiblement les mêmes et que, par conséquent, le Canada pouvait bien parler au nom des Québécois. Ce n’est plus vrai maintenant. De plus en plus, sur la scène internationale comme sur la scène nationale, les positions que défend le Canada vont à l’encontre des intérêts du Québec. Trop d’ententes internationales sont désormais signées – ou déchirées – contre les intérêts nationaux des Québécois alors que leurs impôts participent toujours à leur mise en œuvre.

Tous ceux qui se considèrent citoyens du monde n’y peuvent pas grand-chose : les relations internationales se font entre nations. L’État national est donc la seule porte d’entrée des Québécois sur la scène internationale pour y défendre leurs valeurs comme leurs intérêts. C’est aux Québécois de déterminer quel rôle ils veulent jouer dans le monde. Pour tous les Québécois, il serait beaucoup plus stimulant de le déterminer que de continuer à s’éroder dans le Canada encore et encore.

 

Deux honorables indépendances

Afin de résoudre ces questions fondamentales, il faudra inévitablement que la population du Québec fasse à nouveau des choix. Et s’il y a un choix en particulier qui ne pourra pas toujours être évité, c’est celui qui consiste à déterminer si le Québec doit, ou non, maintenir son lien actuel avec le Canada.

Deux faits brillent de toute leur vérité depuis 30 ans : la Constitution de 1982 n’a jamais été officiellement ratifiée par le gouvernement du Québec, peu importe la formation politique au pouvoir, souverainiste comme fédéraliste, et aucune négociation pour y remédier n’a abouti à un quelconque règlement constitutionnel. Cela pouvait fonctionner un temps, mais cette situation ne peut être éternelle.

L’avenir du Québec comme nation se trouve à l’extérieur du Canada. Il n’existe pas de rêve canadien pour le Québec, pas plus que de rêve québécois pour le Canada. Les Québécois n’ont aucun avenir ni aucune place en tant que nation au sein de cet État unitaire, à moins qu’ils ne consentent à exister selon les termes établis par la nation canadienne à la culture patriotique de plus en plus unitaire; à moins qu’ils ne se plient et qu’ils n’existent que comme simple élément de la mosaïque canadienne; enfin, à moins qu’ils n’acceptent de cesser d’exister comme nation.

Nos deux nations doivent emprunter leur propre chemin pour mettre fin à cette impasse avec deux honorables indépendances. Elles trouveront bien le moyen de coopérer avec, par exemple, une libre circulation des biens, des personnes et des capitaux.

 

Un pays neuf

Au fil du temps, les Québécois ont su s’aménager un espace de liberté. Celui-ci leur a apporté des institutions, des succès économiques qui feraient l’envie de bien des nations. Mais c’est un espace limité, sans cesse contraint. Il ne permet pas à la nation québécoise d’aller au bout de son potentiel et de ses rêves.

Le Québec est capable de tenir son rang sur la scène internationale. La nation québécoise a tous les moyens, tous les outils, toutes les ressources pour assumer son propre destin et devenir un seul pays.

Nous, signataires de cette Déclaration, reprenons nos ailes. Le Canada et le monde reconnaissent aux Québécois le pouvoir ainsi que le droit à la liberté. L’exercice de deux référendums, et même une décision de la Cour suprême du Canada, l’ont confirmé.

Il est essentiel que notre nation puisse avoir son propre État, à son image, et vivre librement.

Deux États étaient à construire. Un seul a vu le jour. Dès lors, il nous appartient de faire lever un pays neuf. Un Québec indépendant.

Ont signé :

 

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Un Nouveau mouvement pour le Québec
Luc Abran
Nathalie Alarie
Johanne Alarie
Ludovic Alarie-Vézina
Philippe Alary
Olivier Allard-Mayer
Johana Alvarez
Fanny Arsenault
Gino Aspirot
Dany Asselin
Catherine Aubertin
Marie-Charlotte Aubin
Michel Aubin
Émilie Auclair
Charles Audet
Daniel Auger
Evelin Auger
Frédéric Auger
Raphaëlle Auger
Benoît Auger
Dany Ayotte
Martin Ayotte Cummings
Laurence Bacon
Sylvain Barette
Xavier Barsalou Duval
Isabelle Beaubien
Rachel Beauchemin
Rock Beaudet
Jocelyn Beaudoin
Anne-Marie Beaudoin-Bégin
Simon Beaudry
Geroges Beaulieu
Nicolas Beaulieu
Martin Bédard
Raphaël Bédard-Chartrand
Rosemarie Bêgin
Claude Béland
Francyne Bélanger
Jacky Bélanger
Marc-Antoine Bélanger
Valerie Belanger-Thibeault
Nicholas Belleau
Jocelyne Bellefeuille
Alexandre Belliard
Charles Etienne Bénard
Pierre-Luc Benoit
Pierre Benoît
Diane Benoît
Charles-Eugène Bergeron
Julien Bergeron
Mario G. Bergeron
Samuel Bergeron
Josiane Bergeron
Jean-Charles Bernier
Eric Berthiaume
Lucie Bertrand
isabelle Bilodeau
André Binette
Stéphane Biron
Émilie Bisson-Yassa
Fulgence Bla
Jennifer R Blais
Christian Blanchet
Julie Blaquière
Anny Blouin
Carl Boileau
Mathieu Boisclair
Adi Boisjoly
Ariane Boisseau
David Boisvert
Jean-Pierre Bonhomme
Jean-Simon Bonin
Alain Bouchard
Eric Bouchard
Jacques B Bouchard
Réal Bouchard
Sébastien Bouchard
David Bouchard
Jérôme Boucher
Michel Boucher
Daniel Boudreau-Guay
Martin Boudreault
Kim Bouilanne
Dani Boulet
Danièle Bourassa
Benoît Bourbeau
Line-Marie Bourbeau
Jeremi Bourgault
Joel Bourgoin
Jean-Luc Boutin
France Boutour
Christelle Brassard
Guillaume Brassard-Méthot
Mathieu Breton
Guy Brien
Mario Brisebois
Marie-Claude Brisson
Yvan Brochu
Jason Brochu-Valcourt
Marie-Claude Brouillet
Antoine Brousseau Desaulniers
Manon Brunet
Peire-Joel Brunnemer
Michelle Bussières
Sylvain Bussières
Caille Bussières-Hamel
Bernard Campeau
Roxane Campeau
Audrey Campeau
Louis-Philippe Cardinal
Frédérick Carignan
Stéphane Caron
Marie-Josée Caron
Annie Carrier Robitaille
Danielle Castonguay
Jonathan Cayer
Martin Chabot
Maurice Chaillot
Samuel Champagne
Alexandre Champagne-Brien
Marc Chapleau
Michel Charpentier
Lionel Chartier
Alexis Chartrand
Gabriel Châteauneuf
Geneviève Chénier
Carole Cholette
Réjean Cholette
Pascal Cholette Janson
Pierre Cloutier
René Cloutier
Dominic Cloutiet
André Colpron
Robert Comeau
Stéphane Cooney
Patrick Coppens
Marie-Eve Corbeil
Paul Corbeil
Paul Corbeil
Yannick Cormier
Jacques Cossette-Trudel
Caroline Côté
Dan Côté
Serge Côté
Philippe Coulombe
Sophie Coulombe
Gabriel Coulombe
Pier-Luc Coulombe Rivest
Mélissa Coulombe-Leduc
Claude Cournoyer
Guillaume Courtemanche
Philippe Couture
Jacques Crépeau
Pierre Curzi
Guillaume Cyr
Marie-Pier Cyr
Martine Cyr
Eric D’Alo
Eric D’Amours
Stéphane D’Astous
Adil D’Sousa
Jean-Marie da Silva
Gabriel Dagenais
Samuel Daigle
Raphaël Dallaire Ferland
Mylène Dalpé
Maxine Dandois-Fafard
Lauréanne Daneau
Marc-Antoine Daneau
Rosalie Daneau
Michel Darne
Kaveh Dashty
Hugo De Koulen
Raphaël De Roy
Vladimir De Thézier
Jérôme Décarie
Robert Deragon
Raphaël Déry
Guylaine Desbiens
Gino-Robert Deschênes
Michel Deschesnes
Antonin Desgent
Gaëtan Desjardins
Jocelyn Desjardins
Amélie Desjardins
André Desnoyers
Marc Desnoyers
Hélène Desputeaux
Yann DesRosiers
Jean-Luc Dion
Laurent Dion
Luc Dion
Marie-Claire Dion
Vanessa Dion
Julien Dion
Julie Dionne
Catherine Dorion
Sophie Dorion
Magali Doucet
Vincent Doucet
Bernard Drainville
Rémi Drolet
Royal du Perron
Sylvain Dubé
Micheline Dubois
Julien Dubreuil-Théberge
Carole Ducharme
Yannick Duchesne
Sébastien Duchesneau
Hugo Dufort
Lucille Dufour
Serge Dufour
Marc-Antoine Dufresne
Annick Duguay
Yannick Duguay
Philippe Dujardin
Martin Dulac
Sébastien Dulude
Félix-Antoine Dumais-Michaud
Raymonde Dumont
Louis Dupont
Jocelyn Dupuis
Kenny Duque
Gilles Durand
Janie Durand
Pierre Durand
Luc Duranleau
Myriam-A. Emond
Élisabeth Émond
Hervé Évrard
Nicolas Falcimaigne
Marc-André Faucher
Myriam Faucher-Pelletier
Audrée Favreau-Pinet
Julie Fay
Ludovic Febvet
Steve Ferland
Mathieu Fontaine
Marc-Antoine Fontaine
Lilissa Fortier
Danièle Fortin
Marc Fortin
Marc André Fortin
Martin Fortin
Pierre Benoit Fortin
Rémi Francoeur
Sophie Fréchette
Guillaume Freire
Joseph Gagne
Pierre-Luc Gagné
Jérôme Gagnon
Nicole Gagnon
Zoé Gagnon
Vincent Gagnon-Boisvert
Marie-Michelle Gamache
Richard Gamache
François Gareau
Jean-Pierre Gascon
Mathieu Gaulin
Eric Gauthier
Robert O. Gauthier
Robert Gélinas
Hugo Gendreau
Charles-Hugo Gendron
Isabelle Gérin-Lajoie
Henriette Germain
Joël Germain
Edouard Geyer
Yolande Gibson
Pierre Gilbert
Laporte Gilles
Jean-Paul Gilson
France Gingras
Mary Ann Gingras
Yves Giroux
Mario Gladu
Jonathan Godin
Patrick Godin
Catalina Gomez
Alex Goyer
Jocelyne Goyette
Angus Graham
Benoît Graton
Francine Gratton
Louis Gravel
Pierre Graveline
Julie Blanche Graveline
Conrad Grenier
Catherine Grenier-Marquis
Réjean Grimard
Renaud Guénette
Gilbert Guevremont
Eric Guillemette
Claude Guimond
Nicolas Guimond
Jonathan Guindon
Paul Guyot
Charles-Eric Haché
Étienne Hallé
Daniel Hamel
Michelle Hamelin
Robert Hamer
Benoit Hamilton
Jean Harel
Laurence Harvey
Jean-Guy Henley
Serge Héroux
Benjamin Hogue
Christian Hottote
Marie-Eve Houle
Jean-François Hughes
Fred Isaya
David Jacques
Guillaume Janson
Michel Jean
Jean-Martin Johanns
Daniella Johnson-Meneghini
Nicolas Jolicoeur
Gérald Joncas
Jean-François Joubert
Émilie Joyal
Rénald Joyal
Martin Julien
Denis Julien
Eric Jutras
Gérard Jutras
Frédéric Kantorowski
Francis Khoury
Jean-Denis Kusion
Mathieu L’Espérance
Diane La Rochelle
Antonis Labbé
Alain Labelle
Guillaume Labelle
Claude Labrecque
Pierre LaBuissonnière
Emilie Ladouceur-Bibaud
Éric Laferrière
Raynald Laflamme
Lise Lafontaine
Laurent Laforce
Benoit Lafortune

Pierre LaFrance
Jacinthe Lafrenaye
Patrick Lajeunesse
Denis Lalande
Francis Laliberté
Jacques Lalonde
Francis Lamontagne
Jean-Daniel Lamy
Jacques Lanctôt
Bernard Landry
Noël Landry
Sylvie Landry
Pierre Landry
Jessica Langlois
Claude Lanthier
Raphaël Lapierre
Luc Lapierre-Pelletier
Annie Laplante
Frédéric Lapointe
Serge Lapointe
Eloïse Lapointe-Leblanc
Pierre Laporte
Maxime Laporte
Sylvie Laprise
Olivier Laroche
Maxime Larochelle
Louis Larose
Michael Lartigau
Eric Laurence
Lise Laurence
Gabriel Laurin
Danyelle Lauzé
Yanek Lauzière-Fillion
Jean-Philippe Laverdiere
Bruno Lavoie
Daniel Lavoie
Jacques Lavoie
Jean Lavoie
Andréanne Lavoie
Félix Le Blanc
Pierre Le Buis
André Le Corre
Serge Leathead
Pascal Lebel
Benoît LeBlanc
François Leblanc
Manon Leblanc
Sylvain Leblanc
Robert Lecompte
Renaud Ledoux
Pierre Leduc
Luc Lefebvre
Anne Legaré
Jean-François Legault
Jean-Sébastien Lelièvre
Luc Lemay
Myrianne Lemay
Denis Yogi Lemieux
Joakim Lemieux
Alexis Lemieux-Lepage
Yvan Lemire
Marc Lemire
Frédéric Lemire
Roxanne Lemoy
Atim Leon
Simon Lépine-Delorme
Marcel Lepot
Julie Leroux
Samuel Lespérance
Nicolas Lessard
Mireille Levesque
Jacques Levesque
Benoit Levesque Beaulieu
Haru Liu
Patrice Llavador
Marc-André Lorimier
Alain M. Bergeron
Tanya MacGillivray
Hélène Mackay
Daniel Magnan
Jean-Nicolas Mailloux
Josee Maisonneuve
Jocelyn Major
Dominic Malboeuf
Nicolas Malboeuf
Alexandre Marcoux
Fabrice Marcoux
Novy Marin Gagné
Isabelle Marissal
Jacques Marquette
Jocelyne Marquis
Jean-Luc Marret
Jean Martel
André Martel
Jean-François Martel Castonguay
Mariane Martel-Thibault
David Martin
Jean-Philippe Martin
Mathieu Martin
Yvan Masse
Marianne Mathis
Maxence Matteau
Dominic McInnis
Mohamed Redha Meddad
Olivier Ménard
Véronique Ménard
Richard Mercier
France Mercille
Bertin Michaud
Andréanne Michon
Normand Michon
Micheline Migneault
Claude Millette
Pierre Miron
Marc-André Miron
Nicolas Moisan
Robert Monaco
Nathalie Mondat
Claude Mongrain
Sebastien Monier
Jean-François Montigny
Claudia Montminy
Edmond Montpetit
Alexandre Moreau
Katy Morin
Real Morissette
Real Morissette
Donald Morissette
Alexandre Nadon
Martine Normand
Christine Normandin
Pierre Norris
Raphaël Ouellet
Raúl Padilla
Claudia Pagé
Jonathan Pageau
Micael Papillon
Gilbert Paquette
Mélodie Paquette
Sylvain Paquette
Maude Paquette
François Paquin
Luc Paradis
Peggy Paradis-Perrier
Nikolas Parent-Poisson
Danic Parenteau
Marie-Claude Parenteau-Lebeuf
Michel Payette
Jean-Francois Pedneault
Michel Pelletier
Roland Pepin
Alex Perreault
Lucie Perreault
Hugo Perreault Demers
Roland Perron
Nicole Perron
Normand Perry
Antoine Phaneuf
Claude Picard
Erwan Picart
Richard Pilon
Marie-Claude Pion-Chevalier
Maxime Plamondon
Claudette Plante
Jean-Guy Plante
Marie-Josée Plante
Martial Poirier
François Poisson
Roger Pomminville
André-Claude Potvin
Jason Potvin
Daniel Poulin-Gallant
Linda Pouliot
André Poupart
Fred Prieur
Colette Provost
Eric Pruneau
Jean Quenneville
Guy Racicot
François Racine
Patrice Racine
Yannick Racine
Eric Ramirez
Camille Raunet
Lise Reid
Jean Alfred Renaud
Gilles Rhéaume
Sébastien Ricard
Julie Richard
Sébastien Richard
Étienne Richer
Pierrette Richer
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Vincent Rioux
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Mathieu Robinson
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Gilbert Rochon
Odile Rochon
Francis Rompré
Dale Rondeau
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Linda Rousseau
Nathalie Roussin
Marianne Routhier-Caron
Anthony Roy

Jacques Barolet
Rosalie Beauchamp
S.bastien Bérard
Denis Bisson
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Guillaume Bourgouin
Noémie Brière-Marquez
Vincent Brillant
Benoit Brosseau
Jean Brunet
Simon Castro
Ariane Cavalli
Sébastien Chabot
Isabelle Corriveau
Réal Croteau
Jean-Fran̤ois De Bellefeuille
Gilles Desgagne
Sylvie Desmeules
Simon Du Perron
Dereck Dubois
Arnaud Dumas
Robert Dumouchel
Mario Fafard
William Fayad
Mario Formichella
Stéfanie Gagné
Isabelle Goulet
Olivier Grant
Michel Héroux
Denis Julien
Francois Julien
Olivier Lacelle
Anne Lalonde
Eugénie Lalonde
Samuel Laporte
Betty Larose
Diane Leclerc
Jean Lecompte
Olivier LeGendre
Roger Lemelin
Félix Lemieux
Alexis Lemieux-Lepage
Jean Lépine
Mélina Longpré
Tremblay Marie-Louise
Johanne Mitchell
Antoine Morin-Rochon
Jonathan Naoum
Donald Ouellette
Gabriel Pelland
Jean-Phylip Prince
Jocelyn Rivard
André Roy
Katherine Roy
Samuel-Chand Roy
Daniel Roy, C.A.
Francis Sabourin
Gilles Sagot
François Saint-Louis
Hubert Samson
Jocelyne Sauriol
Serge Savoie
Samuel Schinck
Pierre Schneider
Philippe Séguin
Daniel Sheehy
Jifeng Shen
Jean-Claude Sicard
Serge Sigouin
Yvon Simard
Claudine Simon
Martin Simoneau
Philippe Solomon Addleman
Guy Soucie
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Félix-Antoine St-Jean
Frédéric St-Jean
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Christian St-Pierre
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Patrick Straehl
Alexandre Taboureau
Bert Talon
Jean-Claude Tanguay
Tania Tania Longpre
Sébastien Tessier
Julie Théorêt
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Yvan Therrien
Richard Thibaudeau
Alain Thibault
Mélissa Thibault
Adèle Toutant
Eve-Marie Tremblay
Jean-François Tremblay
Jimmy Tremblay
Miguel Tremblay
Pascal Tremblay
Patricia Tremblay
Ros��e Tremblay
Stéphane Tremblay
Yves Tremblay
Eric Trepanier
Benjamin Trottier
Alexandre Trottier-Lapointe
Annie-Claude Trudeau
Danielle Trussart
Mathieu Turcot
Sophie Turcot
Martin Vachon
Pierre Vachon
Guillaume Vaillancourt
Bernard Vallée
Frédéric Vallée
Jean-François Vallée
Sylvie Vallieres
Denise Vallières
Samuel Vanasse
Catherine Vaudeville
Huguette Vaugeois
Jean Vaugeois
Jean-François Veilleux
André Véronneau
Pierre Véronneau
Yvan Viau
Richard Villeneuve
Guillaume Wagner
Irène Yakonowsky

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[1].    Nombreux sont ceux qui croient que le Canada est une fédération. Or, même depuis 1867, ce n’est pas le cas, puisque la Constitution autorise la modification unilatérale du partage des compétences par les autorités centrales. Celles-ci ne s’en sont d’ailleurs pas privées, entraînant la centralisation que l’on sait. Le terme d’État unitaire, peu usité au Canada anglais, mérite donc d’être utilisé.
[2].    http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-canadienne/201202/13/01-4495464-etude-sur-lagitation-politique-pas-une-depense-partisane-disent-les-conservateurs.php
[3].    Depuis l’échec de l’Accord du lac Meech, les Québécois n’ont jamais décidé de voter du côté du gouvernement élu et n’ont jamais eu, au Québec, un nombre majoritaire de circonscriptions détenues par des députés membres du parti formant le gouvernement.
[4].    http://www.ledevoir.com/politique/canada/345945/sondage-71-des-quebecois-ont-un-appetit-constitutionnel
[5].    Le Statut de Westminster de décembre 1931 reconnaît l’indépendance de plusieurs colonies, dont le Canada, l’Irlande, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud et l’Australie. Il reste cependant un lien fondamental avec l’Angleterre : le Canada ne peut alors pas modifier sa Constitution ; c’est le Parlement de Londres qui a toujours, à ce moment, juridiction exclusive sur les modifications des règles du jeu.
[6].    De 1963 à 2006, le gouvernement du Canada a été formé par le Parti libéral du Canada, sauf pour deux interruptions : de juin 1979 à mars 1980, et de 1984 à 1993. Durant cette période, les premiers ministres libéraux furent Lester B. Pearson, Pierre Trudeau, John Turner, Jean Chrétien et Paul Martin.
[7].    L’unifolié canadien a été adopté presque 20 ans après le fleurdelisé, dont l’adoption au Québec a donné lieu à une guerre des drapeaux provinciaux au Canada. En effet, aussitôt après l’adoption du nouvel emblème québécois, le Canada s’est empressé de faire adopter les neuf drapeaux des neuf autres provinces canadiennes.
[8].    Les modifications constitutionnelles de 1982 ont eu pour effet de diminuer les pouvoirs du Québec en matière de langue et d’éducation, et de ne pas lui reconnaître un droit de veto ou un droit de retrait avec compensation adéquate en matière de modification constitutionnelle.
[9].    Depuis 1982, les Canadiens ne sont plus des sujets britanniques et le Canada n’a plus besoin de l’accord de Londres pour tout changement constitutionnel. C’est un pays pleinement indépendant. À ce moment, le Québec a perdu, dans la formule d’amendement constitutionnel, son droit de veto. En le perdant, le Québec est devenu une province parmi dix, un peuple minoritaire dont on peut se passer à l’occasion. En effet, sans droit de veto pour le Québec, la majorité anglophone peut redéfinir les règles du jeu sans lui.
[10].  Pour reprendre les mots du politologue Daniel Latouche.
[11].  À cet égard, le Canada, dans sa Constitution originale, n’était déjà pas une fédération, mais un État « unitaire », compte tenu du pouvoir de désaveu et de réserve des lois, du pouvoir déclaratoire, de la compétence en matière d’acquisition des propriétés publiques et de la prépondérance fédérale. Cette situation s’est aggravée depuis par différents instruments d’interprétations et pratiques constitutionnelles, telles que la compétence accessoire implicite, la compétence résiduaire, les dimensions nationales, l’état d’urgence ainsi que le pouvoir de dépenser.
[12].  Lors de la Commission royale d’enquête sur les problèmes constitutionnels.
[13].  Dernières informations disponibles, en date de mars 2011, sur le site du ministère des Affaires étrangères du Canada.

De Brisons l’impasse à Rallumons l’espoir

Les grands rendez-vous.
Ces moments dans l’Histoire que nous regardons avec envie.
Celle d’y avoir été, celle d’en avoir fait partie.
Ces grands rendez-vous ne sont pas l’œuvre fortuite du destin.
Ils sont l’aboutissement, le dernier droit d’une longue marche.
Ces grands rendez-vous se préparent par ceux qui en sont habités et qui refusent d’abandonner.
Le 13 février, préparons l’indépendance du Québec.
RALLUMONS L’ESPOIR.

Le Nouveau Mouvement pour le Québec n’est pas un parti politique. Par ses activités publiques, il propose de rallier les souverainistes de tous les horizons et de nourrir la réflexion autour du projet d’indépendance.

L’automne dernier, le NMQ a organisé quatre assemblées citoyennes : à Montréal, Gatineau, Sherbrooke et Québec. Il prépare également un calendrier d’assemblées pour le printemps. Pour arriver à organiser ces assemblées gratuites et totalement libres, cela nécessite un peu de sous. C’est pourquoi le NMQ organise son tout premier événement de financement, le 13 février prochain, à 19h, au Gainzbar, à Montréal.

Ce cocktail-conférence pour l’indépendance du Québec se fera avec la participation de Daniel Paillé, Pierre Curzi, Jean-François Fortin, Sébastien Ricard, Andrée Lajoie, Daniel Breton, Félix-Antoine Dumais-Michaud, Jocelyn Desjardins, Lisette Lapointe, Alexandre Belliard et plusieurs autres invités.

ENTRÉE: 45$. (étudiants: 20$)
LIEU : GAINZBAR – 6289, rue Saint-Hubert, Montréal.

Vous désirez acheter un billet pour cet événement? Il suffit de cliquer sur le bouton suivant «Faire un don» et vous pourrez donner au NMQ, à travers un site entièrement sécurisé, le montant de 45$ qui est nécessaire pour défrayer le coût de votre billet. En fonction de ce montant, le NMQ fera alors inscrire votre nom à l’entrée et votre place sera ainsi réservée.

Le NMQ est une organisation sans but lucratif. Les fonds amassés serviront principalement à l’organisation d’activités publiques.

Nous vous invitons à nous contacter pour toute question reliée à l’utilisation de vos dons et nous nous faisons le devoir et le très grand plaisir d’être le plus transparent possible quant à l’utilisation de ceux-ci.